Partez à la découverte de la “singulière spécificité portugaise”. Sous des faux airs méditerranéens, la péninsule ibérique nous a concocté une identité savoureuse, comme ses petits pasteis de nata.
Quelque chose qui n’appartient qu’à elle, un doux mélange d’héritage culturel et de soleil océanique, aussi doux et léger qu’un porto accompagné d’accras de morue. On s’entiche sans peine de Lisbonne, de ses fenêtres et de ses murs qui ont l’air d'être là pour satisfaire nos envies de “balades à pied dans des petites ruelles colorées et authentiques”. L’arrière pays, quant à lui, réalise notre rêve de terres un peu sauvages, un peu bucoliques... Bientôt, vous écouterez votre cœur palpitant devant l’immensité des plages parfois désertes, et le bonheur simple et convivial d’un repas de sardines grillées à la terrasse d’un restaurant de village.
Un lieu, Lisbonne évidemment. Vous allez (très) vite céder au charme de cette ville, un peu provinciale, et terriblement branchouille.
La capitale portugaise a plusieurs atouts qui vont convaincront sans peine : sa douceur de vivre, ses vieux tramways sautillants, les heures que vous y passerez à pied, d’une placette ombragée aux quais ensoleillés, les ruelles dominées de hautes maisons au soubassement tapissé d’azulejos, et tout ce qui l’anime, des galeries branchées au petits bars locaux.
Vous l’entendrez cent fois, c’est évident. En écho par les fenêtres de Lisbonne, dans la rumeur de la ville. Mais écoutez-le ne serait-ce qu’une seule fois. Dans son essence, il chante l’émotion, les chagrins d'amour, la profonde nostalgie. Cette célèbre « saudade» de celui qui est parti, la vie quotidienne et les conquêtes, tout ça vous parlera, forcément.
Maintenant imaginez, vous êtes à la table d’un petit restaurant et la chanteuse du Fado arrive, dans une robe noire, elle suspend le cours du temps de quelques notes. Regardez autour de vous, quelques uns pleurent déjà et ne s’en cachent pas, d’autres sourient, et vous vivez un moment précieux.
