Alger la Blanche - Ville de lumière, de contrastes et de mémoire
Alger, qu’on appelle tendrement la Blanche, est bien plus qu’une capitale.
C’est une ville qui se découvre par les sens. On y arrive souvent avec des images floues, des souvenirs transmis, des récits fragmentés… et on en repart bouleversé, apaisé, profondément touché.
Adossée aux collines, les pieds dans la mer, Alger déploie sa silhouette unique :
façades blanches baignées de soleil, balcons en fer forgé, escaliers sans fin, et ce bleu infini qui enlace la baie.
Alger, c’est la Casbah qui murmure l’histoire, classée à l’UNESCO, encore vibrante entre ses murs millénaires.
C’est aussi le quartier colonial aux allures d’Europe du Sud, les tramways qui chantent, les vendeurs de jasmin au coin des rues, les parfums de pain chaud, de café, d’ihrir ou de galette fraîche.
On y vit le contraste permanent entre modernité et traditions, silence et chaos, effervescence et douceur.
C’est une ville de paradoxes, de passion, d’excès parfois, mais surtout : une ville pleine d’âme et d’humanité.
Alger ne se visite pas, elle se vit.
Elle ne laisse personne indifférent. Elle bouleverse, questionne, touche… et souvent, elle guérit.